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jeudi 22 octobre 2015

Hécatombe Dans l'Océan Pacifique

Depuis mai 2015, il y a tout le long de la côte ouest du continent Américain, de l'Alaska jusqu'à la pointe sud de la Baja Californienne, une éclosion d'algues toxiques qui fait des ravages sur la vie marine et aussi sur l'industrie des pêcheries. Ces algues rouges produisent de l'acide domoïque et le taux de cette acide est à un niveau record, parfois 30 fois plus élevé que tout ce qui a été précédemment enregistré en plusieurs endroits de la côte ouest ; comme dans la baie de Monterrey en Californie. C'est la plus importante éclosion jamais observée. On ne sait pas exactement ce qui a causé cette éclosion, mais la température élevée des eaux est certainement le facteur prédominant.

L'acide domoïque est connue pour contaminer les mollusques d'où l'interdiction d'en manger. Aussi, elle s'accumule dans les organismes qui consomment du phytoplancton, soit les fruits de mer, anchois, sardines et autres. Les oiseaux et mammifères marin qui mangent des poisson ou des mollusques contaminés deviennent malade et plusieurs en meurent. 

Chez les mammifères, homme inclus, l'acide domoïque agit comme une neurotoxine, causant la perte de mémoire à court terme, des dommages cérébraux, et la mort dans les cas les plus sévères. Source Wikipédia
En juin 2015, le Département des Pêcheries et de la Faune de l'état de Washington a déclaré que cet acide avait été responsable du décès de quelques individus et d'une bonne centaine de personnes plus ou moins sévèrement incommodées.

Déjà, plus de 25 baleines à bosse et rorquals commun de l'Alaska et de la Colombie Britannique sont décédés et l'éclosion d'algues toxiques est impliquée dans leurs décès. Dix-neuf variétés d'étoiles de mer en mourant se transforment en tas de gelée dégoûtante, en Californie et au Mexique, les oursins perdent leurs épines. C'est véritablement une hécatombe qui se produit tout le long de la côte ouest américaine ; impossible de tenir le compte de la quantité de victimes chez le mammifères marins comme les phoques ou les oiseaux de mer.

La bande rouge représente la partie affectée
Une portion de la côte ouest du Mexique à partir du nord de Culiacan  jusqu'au sud de Mazatlan est la plus récente zone a rapporté une hécatombe renversante ; les photos d'animaux morts comme des dauphins, des lions de mer et les tortues de mer ainsi que les possons sont horribles ; leurs peau est fortement décolorée et leur corps émacié. 

Poisson émacié et aux couleurs dénaturées trouvé mort dans la zone discutée

Au début de septembre 2015, le réacteur No1 de Fukushima, celui qui est complètement démoli, a relâché des centaines de tonnes de déchets radioactifs dans l'océan Pacifique lorsque le typhon Etau a balayé la région en septembre. En plus, la compagnie TEPCO, propriétaire des réacteurs de Fukushima, a commencé à  déverser une grande quantité d'eau des sols hautement contaminée, aussi au début du mois de septembre.

Évidemment, il y aura des études sur les cadavres de ces animaux pour savoir si les radiations de Fukushima y sont pour quelque chose. On sait que le taux de radiation augmente en plusieurs endroits sur la côte ouest américaine et que cela provient de Fukushima qui, rappelons-le, continuera d'émettre des radiations pour une centaine d'années avant que la technologie ne soit suffisamment développée pour commencer à retirer les tiges d'uranium qui, à cause de leur chaleur intense, se sont littéralement fondues un trou sous le réacteur et on ne sait au juste à quelle profondeur elles sont maintenant rendues. Fukushima est un désastre qui va durer plusieurs décennies, et fort probablement des siècles...

samedi 11 juillet 2015

Alerte : Le Courant Jet se Disloque


      Le courant Jet habituel
Dre. Jennifer Francis

En résumé, le courant Jet arctique est une rivière d'air qui circule autour du cercle Arctique. Avant disons 2005, le courant Jet présentait peu d'ondulations Nord-Sud et elles étaient beaucoup moins prononcées. Avec le réchauffement accéléré de l'Arctique, cela a diminué le gradient de température entre l'équateur et l'Arctique et c'est lorsque les écarts de température sont devenues trop faibles que les ondulations Nord-Sud du courant Jet sont devenues de plus en plus prononcées. La Dre. Jennifer Francis a démontré cela avec les travaux de recherche qu'elle et son équipe ont effectués il y a quelques années à peine ; et elle travaille encore sur ce sujet complexe qu'est le courant Jet dans l'ère des dérèglements climatiques.

Ils ont aussi démontré que ces oscillations se bloquaient dans des points relativement fixes et ordonnaient la météo de tout l'hémisphère Nord : sur l'Ouest du continent américain, il y a la "crête ridiculement  résiliente" (Ridiculously Resilient Ridge) et sur l'Est, le "creux terriblement tenace" (Terribly Tenacious Ttrough). Dans l'est, c'est généralement froid et nuageux et l'hiver c'est très froid anormalement longtemps ; certaines régions y sont affligées de fortes pluies ou de chutes de neige record, alors qu'à l'Ouest, c'est chaud et sec et c'est pourquoi il y a de si terribles incendies de forêt dans l'Ouest en ce moment ; la sécheresse en Californie en est aussi une des conséquences. 

À retenir : le courant Jet Arctique est le principal moteur de la météo de l’hémisphère Nord.

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     Mise à jour le 12 juillet 2015 

Je viens recevoir un réponse courriel par la Dre Jennifer Francis, qui m'affirme que le courant Jet, selon leur hypothèse de travail, se comporte comme ils le prédisent, elle complète en me disant que c'est au cours de l'été que le courant Jet est le plus désordonné. C'est donc normal que ce soit en été se produise la dislocation du courant Jet pour les premières fois.
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     La dislocation du courant Jet

Plus tôt ce mois-ci, il avait été prévu que le courant Jet allait de déplacer au-dessus de l'océan arctique au Nord de la Sibérie le 12 juillet à 12:00 UTC en un long et puissant courant de vent comme discuté dans cet article précédent (J'ai traduit dans la légende de l'image ci-dessous le texte auquel l'auteur fait référence) et comme on voit sur l'image ci-dessous.

[... ces changements au courant Jet font que l'air chaud du Sud peut se déplacer plus facilement vers les latitudes nordiques, alors que l'air froid de l'Arctique peut se déplacer avec plus de facilité vers le Sud. Le résultat est que le gradient (différence) de température entre le pôle Nord et l'Équateur diminue, ce qui fait que ces changements au courant Jet produisent une rétroaction qui se renforce d'elle même ce qui dégrade la situation de plus en plus rapidement.]

Pendant ce temps, la situation a changé et une nouvelle prévision révèle que le courant jet se fracturera au-dessus de la Sibérie le 8 juillet 2015 12:00 UTC, ce qui résulte en une série de courants verticaux. Ceci est un tout nouveau développement dans la crise climatique qui était plutôt inconnue des modèles de prévision qui travaillaient en se basant sur un courant Jet qui se déplace horizontalement avec puissance en une mince rivière de vent autour du globe.


Une prévision plus lointaine a été ajoutée sur le panneau du bas pour le 12 juillet 2015 à 12:00 UTC et qui montre des parties du courant Jet à deux endroits : au dessus de la mer Sibérienne orientale, et au dessus de l'archipel Canadien.

La fracturation du courant jet et son alignement avec sur une longitude (verticale) au lieu d'une latitude (horizontale) est un autre développement inquiétant dans le système climatique. C'est la plus extrême des rétroactions en ce qui concerne l'Arctique, et donc de tout l'hémisphère Nord comme décrit à Feedbacks in the Arctic et nommé "Open Doors feedback" (Rétroaction Portes Ouvertes)

      "Porte Ouverte"
Le réchauffement accéléré de l'Arctique modifie le courant Jet et le vortex Polaire facilitant l'échange d'air chaud vers l'Arctique et l'échange d'air froid vers le sud.
"C'est comme laisser la porte du réfrigérateur ouverte."

Cela contribue à réduire la différence de température entre l'Arctique et l'Équateur (c'est quand cette différence était plus grande que le courant était "normal"). À mesure que l'écart va diminuer, le courant Jet sera de plus en plus disloqué et la météo de l’hémisphère Nord deviendra plus déréglée. 

D'une certaine façon, le courant Jet servait de barrière et prévenait le transfert de température. À mesure que le courant Jet se fracture, on doit en principe s'attendre à plus de vagues de chaleur, de sécheresses et à de la météo de plus en plus extrême. La rengaine habituelle que presque personne n'entend...

Le résultat est une poussée d'accélération au réchauffement de l'Arctique, déjà accéléré par la perte de glace maritime, les rivières chaudes, comme le Mackenzie, qui se jettent dans l'Arctique, à cause de la suie des incendies de forêt qui se dépose sur la neige et la glace dont le Groenland ce qui accélère leurs fonte, etc.

L'image ci-dessous révèle l'impact des rivières à l'eau chaude. Au large de la côte d'
Anadyr en Sibérie orientale (Est) les eaux on atteints une température de 15,4C le 5 juillet 2015, une anomalie particulièrement élevée de +9,2°C.


L'image ci-dessous montre elle aussi les impacts des rivières chaudes en Alaska. Une fonte rapide a eu lieu sur l'île St-Lawrence le 2 juillet 2015, comme le démontre les températures froides des eaux de surface environnantes (panneau de gauche), alors que rendu au 6 juillet 2015, la plus grande partie de cette eau froide s'est mélangée à l'eau plus chaude et remonte le détroit de Béring depuis l'océan Pacifique avec l'eau chaude venue de Sibérie et d'Alaska.

Panneau de gauche : on voit l'île en blanc entouré d'eau froide violette.
À droite, on voit que l'eau de fonte froide s'est dissipée.

L'animation du Laboratoire de Recherche Naval montre la réduction drastique de l'épaisseur de la glace maritime (en mètres) sur l'Arctique sur 30 jours à compter du 15 mai 2015.


La date est à droite en haut ==> 20150615
La bande verticale montre l'épaisseur de la glace codée en couleur


Ci-Dessous, l'image montre les températures de surface de l'océan Arctique au 7 juillet 2015.


Avec des températures si élevées sur l'océan Arctique, le danger c'est qu'à mesure que les températures augmentent, plus d'hydrates de méthane sur le fond océanique seront perturbés et les émissions de méthane continueront de s'accroitre dans l'Arctique. Des niveaux élevés de méthane sont observés depuis des années au dessus de l'océan Arctique ce qui démontre que le méthane s'échappe des hauts-fond de l'Arctique.


L'image ci-haut nous montre qu'au 6 juillet 2015 (en avant-midi) des concentration élevées de méthane au Nord du Groenland (ovale jaune). Cela peut être causé par la fonte intensive de la glace sur le Groenland, exposant ainsi des hydrates de méthane qui sont  contenues dans la glace. La déstabilisation des hydrates de méthane au Groenland est mentionné en tant que feedback#21 (Rétroaction #21) . La quantité de glace du Groenland a diminué dramatiquement au cours des dernières années, et ça semble s’accéléré  comme le démontre le graphique ci-dessous.

À un moment donné, vers 2040, le niveau des mers va se mettre à monter beaucoup plus rapidement. Le taux de fonte du Groenland triple à tous les 10 ans comme celui des immenses glaciers en Antarctique ; nous n'en sommes qu'au début.

Au cours des prochains mois, les eaux de l'océan Arctique vont certainement continuer à se réchauffer et la glace maritime accélérer son déclin. La situation ne peut que s'aggraver !
[ NDT : De plus, c'est l'été là-bas et le soleil plombe sur l'eau sombre et la chauffe au lieu que sa lumière soit réfléchie par la glace ; mais il reste très peu de glace sur l'Arctique à cause du réchauffement, ce qui va encore accélérer le réchauffement, disloqué davantage le courant Jet ce qui va aussi accélérer le réchauffement, réchauffement qui va libérer encore plus de méthane qui va encore accélérer le réchauffement. En bref, attendez-vous à beaucoup plus de réchauffement et ne vous fiez pas au GIEC qui est presque 10 ans derrière la science actuelle et dont les prévisions sont toujours les plus conservatrices et donc bien en dessous de ce que la réalité nous réserve...]

Il faut appliquer un plan le plus rapidement possible, comme ce plan-ci :  Climate Plan.

jeudi 7 mai 2015

El Niño 2015 Apparemment en voie de devenir un monstre redoutable

 Article original paru sur : https://robertscribbler.wordpress.com/2015/05/06/steaming-equatorial-pacific-sees-winds-blowing-toward-monster-el-nino/
Merci à Robert Scribbler auteur et propriétaire de ce blogue pour l’accord donné à la traduction et l'adaptation de cet excellent article et à l'utilisation de ses images.

Vu l'urgence, l'importance et la fraîcheur des données ainsi que la qualité de l'article à traduire, j'ai rapidement décidé de reporter mon article sur le méthane de 4 ou 5 jours. 
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     L'an dernier, certains climatologistes nous ont prévenu que cet El Niño pourrait devenir un monstre... Cela semble bien se confirmer.

Tout au long de la large ceinture de Pacifique Équatorial, les températures de surface maritime vont de chaudes à extraordinairement chaudes, Depuis le Nord et l'Est de la Nouvelle Guinée, des anomalies de +1°C jusqu'à la ligne où la date change et où l'on rencontre des anomalies dans la fourchette entre +2,6°C à +3,1°C au dessus de la normale. En poursuivant vers l'Est, ces anomalies diminuent progressivement pendant 8 000 Km entre +1,4°C et +1,7°C jusqu'à la côte Ouest de l’Amérique du Sud où elles atteignent des pointes de +3°C à +4°C au dessus de la moyenne.

 Du jamais vu qui fait dans l'incroyable! Voyez cette immense zone d'eau anormalement chaude sur presque tout le Pacifique. 

L’océan Pacifique montre de fortes anomalies de température sur la majorité des régions.
Merci à https://robertscribbler.wordpress.com/  pour son accord à utiliser
ses images, Source primaire : earth.nullschool.net
Des eaux anormalement chaudes sur l'ensemble du Pacifique allant du bord du cercle Arctique à celui de l'Antarctique et des rives de l'Asie aux côtes des Amériques. Un ensemble de records de températures élevées capable de causer la nausée chez tous ceux qui connaissent bien les conséquences d'un pareil événement. C'est à dire un océan montrant peu de zones avec des lectures inférieures à la norme et qui sont en déclin. Des océans qui montent en température subissant des pertes massives d'animaux de toutes sortes occasionnées par la chaleur accrue qui favorise la diminution de la saturation en oxygène et le développement de toxines produisant des microbes qui prospèrent allègrement dans ces eaux plus chaudes.

Ce Pacifique surchauffé a de quoi angoisser ; c'est un étrange océan, un auquel nous ne sommes pas habitués et qui est déjà dans les griffes d'un El Niño de force modérée. Un El Niño qui lorsque combiné avec la quantité immense de nos émissions de gaz à effet de serre qui réchauffent la Terre de plus en plus et qui a fait de 2014 l'année la plus chaude ainsi que les trois premiers mois de 2015 l'ont été. Nous sommes bel et bien entrés dans l'ère des changement climatiques abruptes. Préparons nous pour un El Niño en voie de devenir monstrueux...
"Onde de Kelvin" : une onde de gravité océanique (marée par exemple) de taille spécifique que "l'effet de Coriolis" (force qui fait tourner l'atmosphère ou l'eau dans le sens de rotation de la terre ; c'est le même effet qui fait tourner l'eau dans un sens quand on chasse une toilette, et en sens opposé de l'autre côté de l'équateur) dirige vers une côte.
Une puissante onde de Kelvin donc apporte de la chaleur à la surface équatorial après avoir été stimulé par de forts vents générés par une très forte Oscillation Madden-Julian (phénomène anormal de fortes précipitations le long de l'équateur à la grandeur de la planète). Un engin thermique rugissant qui draine encore plus d'énergie d'un second ensemble de vents dominants venant de l'Ouest cette semaine.

L'Oscillation Madden-Julian à l'oeuvre dans L’océan Pacifique le 6 mai 2015
Merci à https://robertscribbler.wordpress.com/  pour son accord à
utiliser ses textes et images, Source primaire : earth.nullschool.net
Ces forts vents d'Ouest vont probablement amplifier l'El Niño 2014-2015

Dans le résumé ci-haut du GFS (Global Forecasting Service) le Service de Prévisions Globales, nous voyons des vents soutenus de 50 km/h accompagnés de rafales dans une région le long et juste au Nord de l'Équateur près de la Nouvelle Guinée. Les vents sont associés à un cyclone qui se développe et deviendra typhon plus tard cette semaine selon ce qu'indique les modèles. Les vents d'Ouest de déplacent vers l'ouest le long de la Nouvelle Guinée vers les Philippines. Là, ils sont stimulés par un autre cyclone — la tempête tropicale Noul. Le résultat est qu'un ensemble de vifs vents d'Ouest remontent pendant des centaines de kilomètres contre les Alizés. Un genre d'événement qui a le potentiel de renforcer El Niño qui est déjà d'une remarquable intensité

Cette semaine encore, les modèles de prévision CFSv2 de la NOAA (Agence Américaine Nationale Océanographique et Atmosphérique) continuent d'indiquer un El Niño extrêmement puissant plus tard dans le courant de l'année. Les modèles, une fois  pondérés, montrent des pointes de +2,5°C au dessus de la normale pour Niño 3.4 Une région du Pacifique (que je n'ai pu situer mais qui doit être sur ou près de l'équateur). Des modèles non-pondérés eux montrent des pointes normalisées de +3,1°C. Ceci est un accroissement de ce qu'avaient révélé les prévisions CFSv2 d'il y a une semaine. Un autre ensemble qui montre une tendance continue pour une intensité supérieure d'El Niño.


Image courtoisie de https://robertscribbler.wordpress.com/ Source original NOAA
Traduite et adaptée par le présent traducteur.

Les prévisions modélisées par le NOAA montrent un potentiel pour un El Niño extrême débutant en Juin pour se poursuivre jusqu'en Janvier 2016...

Si un tel événement devait  se produire, ce serait bien pire que le Super El Niño de 1998. Cela pousserait les températures globales dans un bien pire régime. Cela réduirait aussi la capacité naturelle d'absorption du carbone et empirerait sécheresse et précipitations sur-abondantes dans des régions variées et déjà vulnérables du globe. On n'a qu'à penser à l'Australie, l'Angleterre, le Moyen-Orient, l'inde et le Nord-Est Américain pour ne nommer que celles-là.

 Avec les modèles qui continuent de montrer des valeurs de plus en plus élevées, et avec autant de chaleur, et donc d'énergie disponible pour nourrir El Niño, et les forts vent d'Ouest qui continuent de renforcer l'El Niño actuel, ceci est une situation qui exige une surveillance continuelle et précise.
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Liens externes en Anglais
Monster El Nino Emerging From the Depths
NOAA’s Climate Prediction Center
Earth Nullschool
March Shows Strongest Madden Julian Oscillation on Record
Starving Sea Lion Pups and Liquified Starfish